jeudi 20 avril 2017

PAYSAGE PSYCHIQUE - 4.

SAISONS QUATRIÈME - CONTES & AUTRES RECITS



Chant trente et un –Paysage psychique 4-

Aussi au limon du bleu du Yang-Sté, j’aiguise mon verbe gris picard pour advenir, en votre chair, rythmes tels les crochets de riffs du professeur : John Lee Hooker. Je vous livre discrètement la confidence, sans vouloir vous déranger réellement… Jadis depuis toujours et demain le Loup BAZARBleunuit qui vous traverse et par mon rare sourire de silence maintenant pour mon jour dans les souvenirs électriques des orages du Jon Spencer Blues Explosion ! 

Dessous les ponts d’un Mississippi improbable qui remonte des bayoux de l’adolescence.
Revient… C’est tout droit, Baby ! …Hound – le chien-Taylor, l’homme nègre qui eut douze doigts et me demande depuis le seuil de l’éternité du commencement, de lui croquer les deux superflus, aussi… 



Je suis LoupBAZARBleunuit. Je vous délivre discrètement la confidence sans vous déranger réellement, je passe. CELA ne me coute rien si, autiste, elle est comprise de la Louve.
Le soir distrait est absent. De grandes villes noires s’aventurent pour forniquer dans le sillage de nos sœurs tranquilles quand le tout soleil écoute vos silences qui approuvent… À l’horizon est à entendre : Est-il RIEN ? Ce cri de l’Alligator d’Or ? RIEN ? Ô ! VIE ! Fleurs de sang à la manière que RIEN ne peut… Les peuples de pestes télévisuelles et de réseaux sociaux en génocides de la Pensée. Ô ! Alligator d’Or dans l’ombre des regards, dans la transe de vertiges de grands complots à accomplir… Aux musiques de tes larmes sonores, toutes les rives sont à visiter.
Une heure chevauchée de notre âme par la bienveillance accompli de l’Alligator d’Or, c’est l’herbe heureuse dans cette lumière d’un bonheur ici là – le ciel que l’on aurait peint un peu plus haut que sa voûte ou bien du plus profond du crâne bleu plein d’air pur. Voyant le regard du jadis, c’est nous joués en échos. Je savoure me parlant en écrivant. À la jonction tellurique de mes sensations, j’écoute Cecil Barfield,



je suis pareil à Robert Johnson à la croisée des chemins où il doit choisir… Je respire dans le pèlerinage de ma pauvreté en lumières de brouillard. Je serre les dents en guettant le point de non-retour. Je touche la nuit des deux doigts superflus tranchés… ils me sont en la bouche de ma mémoire …de Houng Dog Taylor. 



Mon cœur dévore sur la trace muette accouplée à jamais au blues contre l’équation de l’immense stupidité des siècles 20 et 21. Le haïku est dérisoire, là où autrefois électrique.
Griffures d’encre sans armure de goudron aujourd’hui comme jamais assouvies. Premier d’avant la vie ce stylo du moi qui dévide à coups de plumes incandescentes les gestes faits de notre autre : Alligator.
Même quand le passé se glisse sous la peau comme Alligator en chasse, CELA ne défroisse pas les mémoires perdues. On ne défroisse jamais le regret qui est un papier de sucrerie chiffonné.
Tu es corps d’écriture, ventre de fissures. Tu portes tes intérieurs vers l’extérieur, unique dans les vases de la vie, tu désires défier les oublies affirmés. Tu deviens lignes mal aimées puis ton corps une strophe finale. Le vol de l’Alligator d’Or aux larmes sonores brouille la discipline des ondes au-dessus de l’orage qui s’annonce ===============================>
====> Post-industriel : LA CHUTE !


À la pleine âme de la peau de l’Eglise de Celle, les écailles du Loup en la danse des baisers au pur j’oui accru des sentiments du soi en soi –NOUS. Danser l’harmonie de l’Amour et la marche de l’Alligator devient souriante… –Voilà, l’Or ! …au vent du seuil de la chapelle sixties.


Eglise sur crocodile-walk. À la pleine âme de la peau de l’Eglise de Celle, les écailles du Loup en la danse, point de justes. Une arme fatale excite l’étincelle qui sommeille à l’oreille de l’Alligator d’Or. L’épée du bébé donne des ailes déployées aux solutions des problèmes. Demandez-lui, LÀ !  

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